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À Nantes, se loger coûte 5,3 % plus cher qu’il y a un an

07/09/2018

À Nantes, se loger coûte 5,3 % plus cher qu’il y a un an

Les prix de l'immobilier sont toujours en hausse, à Nantes. Quatre quartiers s'affichent à plus de 3000 € le mètre carré. Le point.
Publié le 29 Août 18 à 18:53
Le quartier Saint-Félix reste en tête des secteurs les plus chers au m2, à Nantes.
Selon Se Loger, site spécialisé dans l’immobilier, les prix immobiliers dans l’ancien sont aujourd’hui 5,3 % plus élevés qu’il y a un an, à Nantes.

Ce chiffre coïncide à peu près avec le bilan réalisé par les notaires en juin 2018.
La capitale des Ducs de Bretagne connait actuellement une « très nette augmentation des prix immobiliers ». Se Loger précise :

    À Nantes, comptez 3 428 € du m² pour un appartement.

En juin, les notaires évoquaient quant à eux un prix médian de 2740 € pour les appartements anciens (+ 6 % en un an) et de 4170 € pour les appartements neufs (-0,5 %). Pour les maisons anciennes, le prix médian était de 335 000 €, soit une évolution de 2,8 % en un an.

Sur les douze derniers mois, les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger indiquent que les prix des appartements anciens situés à Nantes augmentent tous azimuts.
« Une qualité de vie supérieure à la moyenne »

Parmi les explications : « Une qualité de vie supérieure à la moyenne, une situation géographique stratégique (Paris est à moins de deux heures de train et l’Océan Atlantique n’est qu’à 45 minutes en voiture), une offre culturelle à la fois riche et variée, un large réservoir d’étudiants (plus de 50 000), un réseau de transport en commun qui a fait ses preuves, une économie locale résolument tournée vers les nouvelles technologies et la consommation responsable, un bassin d’emploi dynamique et des prix immobiliers abordables. Sans oublier l’incontournable mascotte pachydermique (le Grand Éléphant des Machines de l’Île)… »

Les quartiers Chantenay – Sainte-Anne et Doulon sont très prisés

Se Loger analyse encore : « Si l’hyper-centre nantais – les biens de faible superficie sont très prisés des investisseurs en locatif et des primo-accédants – reste une valeur sûre, force est de constater que la cote des quartiers Chantenay – Sainte-Anne et Doulon ne cesse de grimper. Très apprécié pour la tranquillité dont il permet de profiter, le quartier Saint-Pasquier (rue des Hauts-Pavés, rue Paul Bellamy) fait, quant à lui, le bonheur des familles. LGV oblige, les alentours de la gare et du canal Saint-Félix sont également de plus en plus recherchés. »

Enfin, bien qu’il soit moins coté, le secteur Géraudière-Boissière « recèle des opportunités à côté desquelles il serait dommage de passer ».

SeLoger évalue via son baromètre que les prix au m2 s’élèvent à 3510 € pour le quartier Saint-Pasquier – Saint-Félix, 3316 € pour le centre-ville, 3354 € pour Tortière – Donatien et 3044 € pour Sainte-Thérèse – Beauséjour.

Pour les notaires, toujours en juin 2018, les prix médians au m2 variaient de 3170 € pour les plus élevés (appartements anciens dans les Hauts Pavés – Saint-Félix) à 2150 € pour les plus bas (appartements anciens à Doulon – Bottière), avec la plus forte hausse en un an pour le quartier Breil-Barberie (+10,8 %, à 2410 €/m2).
À Nantes, la marge de négociation atteint 4 % du prix de vente

Sur le marché des appartements, « la réduction dont peuvent espérer profiter les acquéreurs d’un bien immobilier situé à Nantes est, en moyenne, de 4 % du prix de vente tel qu’indiqué dans l’annonce ».

SeLoger ajoute : « Plus élevée que la moyenne nationale (3,1 %), la marge de négociation nantaise n’est toutefois qu’indicative. S’il est en cohérence avec le marché immobilier local, le prix de vente d’un logement pourra faire l’objet d’une ristourne moins importante, voire, dans certains cas, ne faire l’objet d’aucune réduction ! »